
Projets Lot Dazeville
VILLENEUVE-SAINT-GEORGES
Lot Dazeville
- Imaginer
Conception de 79 logements sociaux, 13 logements en accession sociale (dont une maison réhabilitée) et de 3 commerces à rez-de-chaussée
Programmation
79 logements sociaux
13 logements accession sociale
dont 3 logements réhabilités
Montant travaux
14 M€
Mission
Concours conception-réalisation
non retenu
Labels — BIM
RE 2020 seuil 2028
NF Habitat HQE 7*
Label biosourcé niveau 1 (2024)
BIM — Niveau 1
Programmation | 79 logements sociaux | 13 logements accession sociale | dont 3 logements réhabilités | |
Montant travaux | 14 M€ | |||
Mission | Concours conception-réalisation | non retenu | ||
Labels — BIM | RE 2020 seuil 2028 | NF Habitat HQE 7* | Label biosourcé niveau 1 (2024) | BIM — Niveau 1 |

Situé à la jonction de plusieurs tissus urbains à Villeneuve-Saint-Georges, ce projet vise à redonner vie à un site complexe et stratégiquement positionné entre la rue de Paris et l’avenue des Fusillés. Composé de 92 logements et 3 commerces le programme inclut également la réhabilitation d’une maison existante, véritable témoin du patrimoine local.
Pensé comme une couture urbaine, le projet s’adapte à son environnement hétérogène — entre logements individuels, immeubles anciens et locaux d’activités — en s’appuyant sur les altimétries et les tracés existants pour mieux s’y intégrer. La volumétrie progressive (R+2 à R+4) et les percées visuelles préservées vers les coteaux et l’église renforcent l’ancrage du bâti dans le paysage.
L’architecture déclinée en plusieurs volumétries favorise les interactions entre les typologies de logements (locatifs sociaux, accession) tout en s’inspirant du passé cheminot de la ville, à travers des porches, des venelles et des matériaux comme la brique moulée main et le zinc vert-de-gris.
Pensé comme une couture urbaine, le projet s’adapte à son environnement hétérogène — entre logements individuels, immeubles anciens et locaux d’activités — en s’appuyant sur les altimétries et les tracés existants pour mieux s’y intégrer. La volumétrie progressive (R+2 à R+4) et les percées visuelles préservées vers les coteaux et l’église renforcent l’ancrage du bâti dans le paysage.
L’architecture déclinée en plusieurs volumétries favorise les interactions entre les typologies de logements (locatifs sociaux, accession) tout en s’inspirant du passé cheminot de la ville, à travers des porches, des venelles et des matériaux comme la brique moulée main et le zinc vert-de-gris.

Depuis la place Pierre Sémard

Depuis l'avenue des Fusillés
Le projet s’appuie sur une conception bas carbone intégrant des systèmes constructifs bois, associant ossature bois (MOB), façades à ossature bois (FOB) et planchers en CLT. La mise en œuvre repose sur une stratégie de préfabrication hors-site, répondant aux contraintes du site et permettant une réduction des déchets de chantier de plus de 90 %, une optimisation des ressources, et une accélération des délais d’exécution.

Création d'une placette en lien avec la place Pierre Sémard

L’aménagement paysager joue un rôle fondamental, avec un cœur d’îlot végétalisé, des jardins partagés, des belvédères, des espaces de détente et une biodiversité renforcée.

Le tout s’organise autour d’un réseau de passages et venelles, véritables respirations dans la trame urbaine, favorisant les mobilités douces et les rencontres entre habitants.

Des passerelles comme circulations verticales, lieux de rencontre et de contemplation

Des logements traversants ou bi-orientés tournés vers le paysage

Une vision urbaine respectueuse, engagée et sensible au contexte, à la fois contemporaine et ancrée dans la mémoire des lieux